
On
Plusieurs facteurs expliquent ce taux, le plus faible parmi les pays riches de l'OCDE.
Si l'on compare la situation avec celle d'autres pays, on peut d'abord
Mais les mutations du marché de l'emploi jouent aussi un rôle important dans cette crise du syndicalisme.
Enfin, on
depuis un certain nombre d'années maintenant, un déclin des syndicats français. Le taux de syndicalisation en
puisqu'il est passé de 21% en 1978 à 8% en 2017.
Plusieurs facteurs expliquent ce taux, le plus faible parmi les pays riches de l'OCDE.
Si l'on compare la situation avec celle d'autres pays, on peut d'abord
que la syndicalisation présente peu d'intérêts en France. Le fait que les syndicats défendent aussi le droit des non syndiqués, sans qu'ils aient à payer les cotisations le
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Mais les mutations du marché de l'emploi jouent aussi un rôle important dans cette crise du syndicalisme.
les chiffres du ministère du Travail, le taux de syndicalisation ne concerne que 3% des salariés en CDD et seulement 1% des intérimaires. On
donc que la précarisation du travail accent la faiblesse des syndicats.
Enfin, on
que la peur d'être discriminé dans son entreprise est un obstacle important à l'engagement syndical.
le dernier rapport du Défenseur des droits, une forte proportion de salariés pensent que l'exercice d'une activité syndicale entraîne souvent des représailles telles qu'une absence d'évolution professionnelle, un blocage de la rémunération ou une dégradation des conditions de travail.