En 1979, le maire (= Bürgermeister) de Schiltigheim près de Strasbourg a eu l'idée de donner la parole aux enfants. Il a donc fondé (= gründen) le Conseil d'enfants.
Chaque automne, les 10 à 13 ans choisissent 34 copains et copines qui les représenteront (= vertreten) à la mairie pendant un an. Ensemble avec le maire, ces représentants essaieront de trouver des solutions à leurs problèmes.

a) voila pourquoi les jeunes conseillers aiment beaucoup le maire:
— II les prend au sérieux.
Max: Je sens qu'il nous au sérieux.
— Il répond à toutes leurs questions.
Solange: C'est chic qu'il à toutes nos questions.
— Il ne veut pas toujours avoir raison.
Aline: Je trouve formidable qu'il ne pas toujours avoir raison.
— II comprend leurs problèmes.
Olivier: On voit bien qu'il nos problèmes.
— Il n'est jamais impatient.
Lili: Cela m'étonne qu'il ne jamais impatient.
— II ne les interrompt jamais.
Pascal: J'ai constaté qu'il ne nous jamais.
— Il sait si bien écouter.
Anne: C'est tellement agréable qu'il si bien écouter.
— Il leur fait confiance.
Carole: Je sens qu'il nous confiance.
— Il leur permet même de le tutoyer (= duzen).
Pierre: Je trouve extraordinaire qu'il nous même de le tutoyer.
— On peut tout lui dire.
Marc: On sait qu'on tout lui dire.
b) Voici quelques réactions des habitants de Schiltigheim. Faites vous-mêmes les phrases.
L'ancien maire: Je sais depuis longtemps (le maire — être devenu fou).
Une mère: Quelle chance (nous — avoir un maire pareil).
Un mécontent (= Unzufriedener): C'est incroyable (un maire — pouvoir être si naïf).
Un apprenti: C'est dommage (moi — avoir déjà 16 ans).
Un père: Je suis ravi (mon fils — apprendre à faire de la politique).
Une grand-mère: Je regrette (ma génération — n'avoir pas eu cette chance).
Un mécontent: Je trouve idiot (on — avoir fondé le Conseil d'enfants).
Un agent: Nous avons l'impression (les jeunes — faire moins de bêtises depuis qu'ils ont le Conseil d'enfants)
Des parents: Nous craignons (notre fille — ne plus nous obéir).
Un vieux: On voit (les vieux — n'avoir plus rien à dire dans ce village).
c) Voici ce que disent les jeunes conseillers:
— Il faut absolument qu'on (construire) des maisons réservées aux familles nombreuses (= kinderreich)
— Nous ne trouvons pas normal que les enfants n' (avoir) pas assez de place pour jouer.
— Nous voudrions que vous (installer) des ateliers vidéo.
— Nous savons qu'on (vouloir) abattre (=fällen) les vieux chênes à l'entrée du village. —
— Nous exigeons qu'ils (ne pas être abattus).
— Nous n'acceptons pas que les enfants pauvres ne (pouvoir) jamais partir en vacances.
— Il faudrait qu'ils (avoir)' aussi cette possibilité.
— Nous aimerions que vous (acheter) une maison au bord de la mer.
— Il vaudrait mieux que l'école (finir) à 11 heures et demie. A midi, il y a trop de circulation.
— Nous demandons que les enfants d'immigrés (= Einwanderer) (avoir) les mêmes chances à l'école que nous.
— Nous ne sommes pas du tout d'accord que les profs (faire) une différence entre eux et nous.
— II les prend au sérieux.
Max: Je sens qu'il nous au sérieux.
— Il répond à toutes leurs questions.
Solange: C'est chic qu'il à toutes nos questions.
— Il ne veut pas toujours avoir raison.
Aline: Je trouve formidable qu'il ne pas toujours avoir raison.
— II comprend leurs problèmes.
Olivier: On voit bien qu'il nos problèmes.
— Il n'est jamais impatient.
Lili: Cela m'étonne qu'il ne jamais impatient.
— II ne les interrompt jamais.
Pascal: J'ai constaté qu'il ne nous jamais.
— Il sait si bien écouter.
Anne: C'est tellement agréable qu'il si bien écouter.
— Il leur fait confiance.
Carole: Je sens qu'il nous confiance.
— Il leur permet même de le tutoyer (= duzen).
Pierre: Je trouve extraordinaire qu'il nous même de le tutoyer.
— On peut tout lui dire.
Marc: On sait qu'on tout lui dire.
b) Voici quelques réactions des habitants de Schiltigheim. Faites vous-mêmes les phrases.
L'ancien maire: Je sais depuis longtemps (le maire — être devenu fou).
Une mère: Quelle chance (nous — avoir un maire pareil).
Un mécontent (= Unzufriedener): C'est incroyable (un maire — pouvoir être si naïf).
Un apprenti: C'est dommage (moi — avoir déjà 16 ans).
Un père: Je suis ravi (mon fils — apprendre à faire de la politique).
Une grand-mère: Je regrette (ma génération — n'avoir pas eu cette chance).
Un mécontent: Je trouve idiot (on — avoir fondé le Conseil d'enfants).
Un agent: Nous avons l'impression (les jeunes — faire moins de bêtises depuis qu'ils ont le Conseil d'enfants)
Des parents: Nous craignons (notre fille — ne plus nous obéir).
Un vieux: On voit (les vieux — n'avoir plus rien à dire dans ce village).
c) Voici ce que disent les jeunes conseillers:
— Il faut absolument qu'on (construire) des maisons réservées aux familles nombreuses (= kinderreich)
— Nous ne trouvons pas normal que les enfants n' (avoir) pas assez de place pour jouer.
— Nous voudrions que vous (installer) des ateliers vidéo.
— Nous savons qu'on (vouloir) abattre (=fällen) les vieux chênes à l'entrée du village. —
— Nous exigeons qu'ils (ne pas être abattus).
— Nous n'acceptons pas que les enfants pauvres ne (pouvoir) jamais partir en vacances.
— Il faudrait qu'ils (avoir)' aussi cette possibilité.
— Nous aimerions que vous (acheter) une maison au bord de la mer.
— Il vaudrait mieux que l'école (finir) à 11 heures et demie. A midi, il y a trop de circulation.
— Nous demandons que les enfants d'immigrés (= Einwanderer) (avoir) les mêmes chances à l'école que nous.
— Nous ne sommes pas du tout d'accord que les profs (faire) une différence entre eux et nous.